Pendant l’année 2020, tout est mis en état de stand-by pour plusieurs semaines en raison du Covid dans tous les pays du monde. Pour les interventions de chirurgie esthétique, elles ont connu une augmentation des demandes dans le monde, et le bilan peut être même plus intéressant dans la fin de 2021. Dans la majorité des pays, les femmes sont nombreuses à envisager d’y avoir recours, notamment pour gommer certains des méfaits d’une longue période de confinement et de distanciation sociale.
L’impact du covid-19
Selon les chiffres, on connait tous que les demandes liées de la chirurgie plastique et esthétique sont en augmentation constante depuis plusieurs années. Cette hausse a été freinée lors de l’apparition de la pandémie de Covid-19, dont la succession des confinements et l’obligation de respecter des mesures de distanciation sociale ont fait reculer la plupart des interventions. Ce coup d’arrêt devrait toutefois n’être que momentané tant certaines procédures suscitent un réel intérêt à mesure que la pandémie décline à travers le monde.
La liposuccion en réponse aux dégâts du confinement
Une étude qui a été élaborée l’année dernière nous donne pour information qu’une femme sur dix des femmes interrogées pendant la pandémie étaient plus intéressées par la chirurgie plastique et améliorer leurs silhouettes ou corriger leurs défauts qu’avant le Covid-19. Un chiffre qui grimpe même à 24% pour celles qui y ont déjà eu recours. Plus d’un tiers des sondées ayant déjà subi une intervention chirurgicale de liposuccion ou une procédure mini-invasive (35%) envisagent de dépenser plus en traitements en 2021 que l’année précédente.
On constate que les visioconférences ont joué un rôle important pour aboutir à un boom de la demande en matière de procédures faciales, la donne semble avoir considérablement changé pour celles qui prévoient de passer à l’acte dans un délai de six mois.
Ruée sur les implants fessiers
La pose des implants fessiers est une opération de chirurgie esthétique très demandée après l’apparition de la pandémie du covid-19. Véritable tendance de fond, inspirée des Kim Kardashian ou autres Kylie Jenner, ou réponse à des semaines passées à télétravailler sur un canapé, les implants fessiers ont bondi de 22% en 2020. Un chiffre à relativiser puisque cela ne concerne que 1.179 procédures, mais qui témoigne d’un réel engouement pour les postérieurs parfaitement galbés.